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Sur les traces des joyaux de la ligne N…

Cet été la ligne N voyage au fil de ses joyaux…

Alors, continuons notre tour d’horizon des joyaux de la ligne N et partons à la découverte d’une ravissante destination aux richesses insoupçonnées…

 

La ville de Montfort l’amaury regorge effectivement de trésors plus ou moins bien cachés…

Les amateurs, comme moi, de graffitis anciens ne seront pas déçus, les amoureux d’histoire non plus !

Car Anne de Bretagne, descendante de six générations de la famille des Montfort qui fut à la fois reine de France (2 fois !), duchesse de Bretagne et comtesse de Montfort y a largement laissé son empreinte.

C’est à elle que la commune doit de nombreux aménagements réalisés au cours du XVème siècle.

Elle fait agrandir l’église, déplacer le cimetière puis restaurer le château détruit lors de la guerre de cent ans.

 

 

 

 

 

 

 

Elle y ajoute une majestueuse tour octogonale de trois niveaux, classé monument historique depuis 1862, qui porte encore aujourd’hui son nom.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le cimetière, lui aussi classé, vaut  le détour car c’est un des rares à conserver son charnier (à noter que c’est aussi le cas de l’église St Séverin dans le quartier St Michel à Paris).

Encadré par un immense cloitre avec un plafond aux allures de coque de bateau renversé, ce cimetière veille sur de nombreuses stèles du XVIII et XIXème.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Patrimoine, histoire, nature et même musique, vous y découvrirez aussi le musée et la maison du compositeur Maurice Ravel…

Chacun peut donc trouver son bonheur en s’arrêtant en gare de Montfort !

Prévoyez toutefois une petite demi-heure de marche pour atteindre ce joyau, mais, comme le dit le dicton, « après l’effort, le réconfort »… à Montfort !

Un commentaire pour “Sur les traces des joyaux de la ligne N…”

  1. daniel dit :

    Bonjour,

    juste pour info: il n’y a pas de « S  » à Epone
    merci de rectifier cette erreur qui se propage: sur vos pancartes, affichages et autres documents ou l’on retrouve inscrit: » Epones »
    n’oublions pas que la force de la SNCF de 1938: c’était l’exactitude !
    cordialement

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