Un blog Transilien SNCF Voyageurs pour Île-de-France Mobilités

18, 115, 144, 3300, 15200, 30%…

Demain, jeudi 2 juin, en plus du jour de l’Ascension, cela fera très exactement 1 mois que s’est ouvert le blog de la Ligne N. Depuis la création de ce blog, je souhaitais entamer avec vous un dialogue durable portant sur votre quotidien et votre vécu sur la Ligne N. C’était d’ailleurs la première fois que nous instaurions ce type de conversation entre vous et nous. Retour en chiffres sur un mois de blog !

18, c’est le nombre de billets publiés sur le blog depuis le 2 mai. L’affichage à Versailles Chantiers, la régularité du mois d’avril, les travaux dans les gares de St-Cyr et Plaisir, les flashcodes… les sujets étaient variés et ont appelé nombre de commentaires de votre part.

115, comme le nombre de commentaires justement que vous avez laissés au 1er juin. Il y a eu des remarques constructives, des questions pertinentes, des pistes d’amélioration, des débats inattendus et percutants : un blog vivant !

144, comme le nombre de visites par jour en moyenne

3300, comme le nombre de personnes à s’être rendues sur le blog au moins une fois.

15200, comme le nombre de pages vues depuis le 2 mai.

3, comme le nombre de pages en moyenne que vous lisez lorsque vous vous connectez ici.

6 minutes 8 secondes, comme le temps moyen que vous avez passé sur le blog au mois de mai !

30%, c’est le pourcentage de visiteurs qui sont revenus sur le blog après un premier passage.

2000 franciliens, 620 rhônalpins, 600 habitants de la région Centre mais aussi 65 californiens, 21 londoniens, 49 bretons, 5 koweïtiens, 2 hong-kongais, 2 québecquois, 1 piémontais…

… et 115520 voyageurs qui empruntent tous les jours nos lignes Paris – Rambouillet, Paris – Dreux, Paris – Plaisir Grignon, Paris – Mantes la Jolie et Paris – Sèvres !

Merci à toutes et à tous !

5 commentaires pour “18, 115, 144, 3300, 15200, 30%…”

  1. acenetPasser au statut dit :

    Ouahou !

  2. Avenguardia dit :

    500 millions de chinois et moi et moi et moi

  3. Duval dit :

    Un blog, c’est sympa comme idée. C’est tendance, moderne, moi je suis plus rétro comme mode de pensée, par exemple, j’aurais préféré une solution comme des bus pour palier à l’arrét total de connection Versailles Rambouillet pendant 4 heures à la sortie des bureaux aujourd’hui 1er juin.
    Il est vrais, c’est un incendie c’est un incident. D’un autre côté le fait qu’il fasse exceptionnelement sec n’est pas un secret d’état, la RATP/SNCF n’entretien pas les herbes le long des voies ?
    J’ai la faiblesse de crois que ce dont à vraiment besoin un client du train ( le terme usager est inadéquat, nous sommes clients ), c’est un train qui ne soit pas supprimé, qui parte à l’heure et qui arrive à l’heure en ayant désservit l’intégralité de ses arrêts, le tout dans un niveau de confort correct ( sans le chauffage alors qu’il fait très chaud dehors comme la semaine dernière à plusieurs reprise).
    Bref, comme ils disent dans le domaine sportif,  » faut bosser les fondamentaux « . La communication d’entreprise ça ne remplace pas une bonne paire de ciseaux à brousailles pour éviter que des milliers de gens perdent leur soirée.

    En espérant que la lecture de ce commentaire vous inspirera

    • Vincent Reynaud dit :

      Bonjour !
      Tout d’abord, merci pour votre contribution. Je suis persuadé que c’est en échangeant que nous avancerons. Pour répondre à votre question sur le sujet des bus, je vais copier/coller la réponse que j’ai faite à l’instant à Richet-Moinet sur le billet relatif à la gare du Perray.

      j’aurais préféré une solution comme des bus pour palier à l’arrét total de connection Versailles Rambouillet pendant 4 heures à la sortie des bureaux aujourd’hui 1er juin.

      Ma réponse : Je suis tout à fait d’accord avec vous : la disponibilité des bus est un vrai sujet sur l’Ile-de-France. Nous avons en règle générale beaucoup de mal à trouver des bus, particulièrement aux heures de pointe quand ils sont déjà sollicités par les scolaires. Ce soir-là, pas ou peu de scolaires – c’était un mercredi – mais il n’y avait malheureusement qu’un seul car de disponible, après que nous ayons contacté plus de 50 compagnies de bus sur l’ensemble de l’Ile-de-France. La compagnie SQYBUS a même renforcé ses dessertes par bus entre La Verrière et Trappes. Hélas, la Nationale 10 était bouchée à ce moment-là en raison de la circulation très dense une veille de week-end de 4 jours. Le seul bus disponible a donc mis une heure et demi pour effectuer le trajet, puis a effectué une rotation dans l’autre sens. Cela étant dit, vous posez une vraie question : Transilien doit-il posséder un parc de bus pour pallier ce genre de situation ? Pour y répondre, il faut prendre en considération le fait qu’un bus transporte maximum 40 personnes et qu’en heures de pointe sur la branche Paris – Rambouillet, ce ne sont pas moins de 15000 à 20000 personnes à transporter (pour 115000 clients/jour sur l’ensemble de la Ligne). Il faudrait donc un parc de bus considérable, ce qui se traduirait par une hausse du prix du billet et de l’abonnement. La réponse n’est pas évidente…

      D’un autre côté le fait qu’il fasse exceptionnelement sec n’est pas un secret d’état, la RATP/SNCF n’entretien pas les herbes le long des voies ? La communication d’entreprise ça ne remplace pas une bonne paire de ciseaux à brousailles pour éviter que des milliers de gens perdent leur soirée.

      Ma réponse : Les talus présents le long des voies sont entretenus. C’est même l’un des principaux budgets de la branche « Infrastructure », budget qui reprend aussi l’élagage : on appelle d’ailleurs les talus les « ouvrages en terre » (j’ai profité de votre question pour parfaire ma culture dans un domaine où je suis néophyte).
      Faut-il tout tailler ? Outre le fait que ce ne soit guère écologique, les riverains n’y sont pas forcément favorable car cela modifierait pour eux pas mal de choses (panorama, bruit…). Mettre de l’herbe à la place, ce n’est à nouveau guère écologique – et ne parlons pas du béton – et cela poserait un gros souci de maintien du talus, en cas d’orage par exemple. Si nous enlevons la végétation pour la remplacer par de l’herbe, les talus risquent de se retrouver sur la voie un jour d’orage, autant dire que les circulations ne seraient pas interrompues 3 heures dans ce genre de cas de figure mais 3 jours.
      D’ailleurs, le même problème s’observe le long des routes et les gestionnaires des réseaux routiers font face aux mêmes problématiques que nous pour le coup !

      Je suis vraiment conscient que ma réponse est frustrante. Il n’y a malheureusement pas de solution miracle sur le sujet. Néanmoins, point de fatalisme ! Nous faisons déjà un certain nombre de choses, ce qui ne nous empêche pas de réfléchir avec Réseau Ferré de France (RFF) sur la manière d’éviter ce type de désagrément afin de trouver des solutions efficaces, pérennes et conviennent à tout le monde (riverains y compris).

  4. akwa dit :

    @Duval : bien dit !

Les commentaires sont fermés.

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