C’est donc à Stéphane de répondre aux questions que vous avez souhaité lui poser au cour de la semaine.
Je lui laisse ici la parole.
Au regard des échanges, remarques et questions soulevés par le débat ouvert sur la sûreté des lignes N et U, je tenais à réagir afin d’apporter un éclairage sur nos organisations, modes de fonctionnement et notre façon de penser la sûreté sur nos lignes.
Nous abordons la sûreté comme un réel service dû à la clientèle. Notre objectif est de pouvoir garantir un voyage en toute tranquillité et sérénité à l’ensemble de notre clientèle.
Il n’est donc pas imaginable pour nous d’occulter des secteurs géographiques ou certaines périodes (comme le weekend sur l’axe Versailles / Rambouillet), seulement l’organisation de nos dispositifs sûreté, qu’ils soient SNCF ou externes (relations avec les services de Police ou Gendarmerie territorialement compétents), repose sur les informations factuelles qui nous sont transmises.
Les faits sûreté recensés sur nos lignes sont suivis quotidiennement, analysés avec les acteurs sûreté évoluant sur nos lignes, afin de décider sur diverses échéances, des missions de sécurisation à mener (où, quand, comment, mais surtout pourquoi, voilà les questions sur lesquelles nous travaillons au quotidien).
Le pourquoi, repose donc sur les événements sûreté portés à notre connaissance.
Eléments qui vont justifier l’orientation des missions de nos acteurs SNCF, et permettre d’alerter les autorités territorialement compétentes, voire les élus locaux sur des problématiques particulières se déroulant dans nos emprises mais impactant également leur domaine territorial ou circonscription.
Car au-delà des dispositifs déjà présentés par Amélie, nous participons aux comités de suivi et de prévention de la délinquance organisés par les communes ou communautés d’agglomérations desservies par les lignes N et U. Ces instances nous permettent d’attirer l’attention sur des difficultés particulières et d’instaurer des relations privilégiées avec les forces de l’ordre locales menant parfois à des actions communes avec la SUGE (Sureté Ferroviaire) dans nos trains et gares.
L’organisation de dispositif humain de sûreté doit se légitimer par des faits.
La qualité de remontée des informations est donc primordiale.
Les agents SNCF sont tous sensibilisés à cette notion de remontée d’information des événements sûreté auprès de notre Poste National de Commandement de la Sûreté. Lorsque vous êtes victimes ou témoins d’un événement sûreté dans nos emprises, il est important de le signaler à un agent SNCF, ou d’utiliser les moyens d’alerte mis à votre disposition sur le réseau TRANSILIEN via le 3117 ou les bornes d’appels d’urgence implantées sur tous les quais des gares d’Ile de France.
L’information sera ensuite diffusée à l’ensemble des acteurs sûreté territorialement compétents, permettant soit une intervention à vocation curative, soit une action préventive immédiate ou a posteriori. Au-delà des outils (vidéo protection, bornes d’appels, numéro d’urgence) et moyens humains que nous pouvons développer, la sûreté reste l’affaire de tous notamment par la qualité de la remontée d’information.
Car là où aucun événement n’est signalé, il y a aucune raison de prioriser une action sûreté ou de sensibiliser les autorités locales.
Le blog d’Amélie reste également un moyen pertinent de nous alerter sur les problématiques Sûreté auxquelles vous auriez pu être confrontées, mais il ne peut garantir la notion de réactivité immédiate »
Bonsoir monsieur Dauthier (en espérant tout de même que cela soit vous-même qui répondez), bon, je me répète assez souvent mais est ce que un jour, va t-on ENFIN pouvoir voyager en sécurité dans le ROPO/PORO du week-end ? Comme je l’ai déjà dit dans mes anciens commentaires, tout les week-ends il y a des bandes de racailles qui montent entre les gares de Versailles et Rambouillet et qui transforment la Z5300 en une véritable zone de non droit, ça fume du joint (vu l’odeur, je soupçonne du shit…), ça emm**** les passagers, ça tague, ça casse, ça crie des insultes et parfois ça vole et ça agresse et tout cela sans la moindre intervention de vos SUGE ou de qui que ce soit de la sncf, pourquoi n’y a t-il jamais ne serait-ce qu’une équipe de SUGE ou des contrôleurs qui tournent sur les horaires des trains “à prôblèmes” (pas besoin d’aller chercher bien loin, ces horaires sont dans la “bulle sûreté” de ce blog) et pourquoi de nos jours peut-on trouver normal de voyager dans un train armé d’une bombe lacrymo (ce n’est pas mon cas mais celui d’autres passagers que j’ai croisé dans un des ces trains) et pourquoi je n’ai jamais vu ne serait-ce qu’une équipe de SUGE ou de contrôleurs dans ces trains depuis 3 ans ? Et pourquoi ai-je obtenu pour seules réponses : “faut appeler le numéro d’urgence…” alors que chacun d’entre nous sait que ce numéro ne servivra à rien en cas d’agression vu que si vous osez sortir votre portable vous risquez de vous le faire comme cela est arrivé à plusieurs de mes amis…
Bonjour,
J’ai lu avec attention l’ensemble de vos échanges et vos remarques parfois pertinentes sur la sûreté et son organisation à bord des trains de la ligne N.
Sachez toutefois, que nous n’avons pas la volonté de délaisser ou abandonner le moindre secteur géographique et créneau temporel, bien au contraire, notre objectif est de pouvoir garantir à l’ensemble de notre clientèle une offre de service incluant bien évidemment cette notion légitime de tranquillité et quiétude à bord de nos trains.
C’est dans cette optique que nous tentons d’organiser au mieux les missions de nos acteurs sûreté (agents SUGE et prestataires de sécurité) et d’alerter les autorités territorialement compétentes des difficultés auxquelles nous pouvons être confrontés. Il est essentiel pour organiser l’action préventive ou curative en matière de sûreté de s’appuyer sur des éléments factuels, c’est en cela que la remontée d’information vers nos dispositifs est fondamentale.
Nous avons pour cela développé un numéro d’appel destiné à la clientèle (3117) et déployé des Bornes d’appels d’Urgence sur l’ensemble des quais des gares du réseau TN.
J’adhère à la difficulté que vous évoquez, de sortir son téléphone portable dans une situation tendue, inconfortable voire dangereuse, mais il n’en reste pas moins prépondérant, quand la situation vous le permet, à votre descente du train par exemple, d’alerter un agent SNCF ou de faire part de l’événement dont vous avez été témoin via le 3117 ou une Borne d’appel d’Urgence.
Vos informations peuvent nous permettre en réactivité immédiate d’envoyer une équipe de sûreté sur le secteur concerné, voire à plus long terme, en recoupant l’ensemble des informations qui nous sont parvenues, d’organiser des opérations ciblées voire coordonnées avec les services de Police.
Le blog de la ligne est également un support intéressant pour nous faire part de vos témoignages, même s’il ne favorise pas l’immédiateté de la réponse sûreté, mais encore une fois il permet l’essentiel, la remontée d’informations, avec des éléments factuels, décrivant la situation rencontrée, le créneau horaire, secteur concerné.
Bonjour,
Même si ça ne doit pas être son rôle, voici néanmoins ma question pour Mr Dauthier (au cas où il saurait) :
Monsieur Dauthier, savez vous si les infractions au code du ferroviaire (sans titre de transport, incivilités etc..) sont consultées d’une manière ou d’une autre par les services de la police en vue de l’attribution d’un titre de séjour, ou lors d’un processus de naturalisation ?
A quel point les données des procès verbaux sont utilisées pour des analyses de sûreté ?
Combien de temps ces données sont archivées et avons nous un droit en consultation dessus ?
Merci.
Bonjour,
Je vais essayer de répondre le plus simplement possible à vos questions avec les éléments et connaissances juridiques dont je dispose, car je ne maîtrise pas les aspects spécifiques liés aux demandes de naturalisation ou renouvellement de cartes de séjour. Cependant, sachez que le code des transports, répertorie 3 types d’infractions pouvant être contraventionnelles, délictuelles ou criminelles.
Les infractions contraventionnelles au code des transports, commises dans les emprises du chemin de fer sont réprimées par un procès verbal SNCF.
Les infractions délictuelles et criminelles relatives au code des transports font l’objet de déclenchement de l’action publique, à savoir l’action judiciaire exercée à l’encontre des auteurs de ce type d’infractions). Dans ce cas, l’ouverture d’une procédure judiciaire entraîne l’inscription des faits sur le fichier de traitement des infractions des services de Police et/ou sur les bulletins de votre casier judiciaire. Il est à noter qu’au-delà des infractions délictuelles ou criminelles spécifiques au code des transports, la plupart des délits ou crimes (assez rares toutefois dans nos emprises) recensés dans nos trains ou gares, sont des infractions de droits communs définies par le code pénal (violences volontaires, vols, dégradations….), pour lesquelles les poursuites engagées sont donc les mêmes que pour tout acte commis sur le territoire national.
Les poursuites afférant à ces infractions sont définies par le code de procédure pénale (instances judiciaires compétentes et types de condamnation….).
Pour ce qui est de la notion de consultation éventuelle des données vous concernant (casier judiciaire), je vous conseille de vous rapprocher de la permanence juridique de votre commune.
Bonsoir à tous, merci d’abord à monsieur Dauthier de m’avoir répondu personnellement en plus 🙂 !
Je comprend votre message mais j’ai l’impression que les explications données par les « importants » de ce blog sont toujours les mêmes, à savoir le numéro d’urgence et les bornes d’urgence (quoique on ne m’avais pas fait le coup des bornes ^^), je suis désolé mais quand il y a des racailles, je ne pense pas que l’on va descendre du train au risque premièrement de passer pour un « faible » face à ces petits c*** à qui il faudrait plus tenir tête que ne rien leur dire et partir bêtement juste pour appeler votre numéro en toute quiétude, je sais que c’est pas très évident pour vous mais déjà, faites tourner vos suge sur du Versailles/rambouillet le samedi/dimanche et vous verrez qu’ils risquent d’avoir du boulot à faire vos petits gars :), même les conducteurs me le confirment que les Paris/rambouillet deviennent « craignos » alors qu’attendez-vous pour mettre des patrouilles sur ces trains, va falloir attendre qu’un conducteur se fasse défoncer la tronche (pardonnez l’expression…) et qu’un passager finisse avec un couteau dans le thorax pour envoyer vos SUGE chez nous ? Parce que 3 ans ça commence à faire long…
Et l’année prochaine je passerai 1h dans les trains quotidiennement au départ de Trappes et je pourrai donc voir si la situation s’est améliorée ou non, je ne vais pas vous cacher que étant donné l’inaction de vos hommes, de plus en plus de gens prennent des lacrymo, des tazers qui un jour finiront par causer un drame si vous voyez ce que je veux dire…Alors va falloir un jour engager des SWAT ou des vigiles pour assurer sa protection ou est ce que vous allez simplement devoir dire à vos gus du SUGE de tourner sur les Versailles-Rambouillet pour éviter les problèmes ?
Les horaires à problèmes sur la branche Rambouillet : 14h à 22h30/23h LE WEEK-END !!!! Et après ça s’arrête sauf le tout tout dernier train qui, il paraît est rempli de fêtards complètement zinzins qui mettent la voiture dans une autre dimension et évidemment, aucun SUGE…
J’ai (malheureusement) le même sentiment que BNC sur la Suge. Je pense que c’est un corps de métier nécessaire à la sncf, mais les agents recrutés et visible aux yeux des clients ne sont pas tous très performant.
Sur mon réseaux, (gare du nord), ils sont aux descentes de trains pour récupérer les sans billets annoncés par les chefs de bord ; ils « sécurisent » les filtrages avant l’embarquement sur les TGV (leur mission consiste donc à regarder et à impressionner chaque client, de manière à ce qu’il ne daigne surtout pas oser parler aux agents présent sur place, pour par exemple demander pourquoi le train à 15′ de retard et on nous contrôle quand même, par exemple). Ils sont aussi dans les trains (mais pas trop car il faut tous les remonter et c’est très fatiguant en plus ça bouge), mais toujours en appui des contrôleurs, au cas où un voyageur demanderaient pourquoi il voyage debout matin et soir pendant 35’… Ils sont aussi en gare, mais avec les contrôleurs quand ils contrôlent en gare…
Bref, pour moi aujourd’hui la Suge, je me plante peut-être, mais de mon point de vue, ce sont à 90% des gardes du corps des contrôleurs. Au service de la Sncf ils le sont, au service des clients de la Sncf, non, ils ne le sont pas. Et c’est vraiment fort dommage…
Bonjour Madame Breton :
Comme Doudou, je confirme le fort sentiment d’insécurité qui était présent dans le ROPO de 15h vers Versailles (me souviens plus de l’heure exact désolé). On était 10 dans le premier wagon, et un groupe de 10 sont montés à Trappes et se sont mis à fumer dans le wagon. Je confirme ne pas souvent rencontrer de SUGE le WE après 12h… Madame, combien de train circulent chaque samedi et chaque dimanche sur la ligne et combien sont accompagnés par de la SUGE ?
Ça , nous permettra de parler avec quelques chiffres, à priori clairs et parlant !
Bien cordialement,
Bonjour Elias,
Associé à Stéphane Dauthier, je me permets de vous apporter la réponse suivante :
Nous avons bien pris en compte les différentes remarques formulées dans ce blog. Le we des 11 et 12 août, des effectifs SUGE ont été engagés sur l’axe Versailles Rambouillet. D’autres opérations du même type sont prévues dans les semaines qui viennent. Un point sera fait entre Stéphane Dauthier et les cadres de la SUGE pour dresser le bilan de ces journées d’accompagnement. Toutefois, nous insistons bien sur le fait que l’événementiel prime sur les missions planifiées.
Nous vous précisons également que, sur la ligne N, les missions SUGE dédiées à l’accompagnement des contrôleurs sont minoritaires. Les missions principales des acteurs sûreté sont et resteront essentiellement orientées vers la clientèle et la lutte contre la malveillance pouvant péjorer le bon fonctionnement de la ligne.
Rémi Français
Responsable des Services à la clientèle
Lignes N et U
Bonjour Monsieur Français,
Je vous remercie de votre réponse. J’ai en effet était contrôlé il y a peu sur la N sans apercevoir de Suge et tout c’est bien passé (ce qui confirme ce que je pense a sqvoir que quand nous avons a faire avec des vrais gens respectable, et c’était le cas des ces contrôleurs, l’accompagnement Suge n’est pas nécessaire).
Bien cordialement,
Mais monsieur « rfrançais »,
C’est bien gentil déjà de réagir au quart de tour à nos réactions mais quelle garantie avons-nous que ses patrouilles se feront aussi au cours de l’année à venir, parce que c’est bien mignon de dire à vos SUGE de faire des tours sur notre ligne mais si c’est pour que ça se fasse pendant 2 semaines et que ça s’arrête subitement c’est pas la peine…Ont-ils reçu l’instruction qu’ils devaient tourner ponctuellement sur Versailles Rambouillet le week-end et ceux durant toute l’année ?
Bonjour,
Etant revenue, je reprends le relais de Rémi.
Je vois que les réponses et les informations que nous vous donnons depuis maintenant trois semaines n’ont pas réussi à vous convaincre des moyens et efforts fournis sur ce suet.
Aussi je souhaiterais pouvoir vous permettre de venir découvrir par vous-même cette organisation en rencontrant Stéphane Dauthier et les différents responsables des missions de la suge.
J’en serais personnellement ravi Mme Breton 🙂
Je transmets vos coordonnées à Stéphane Dauthier pour que vous puissiez convenir d’une date commune.
Il vous contactera très certainement dans la journée.
Je ne sais si je serais présente le jour de votre visite mais j’espère que cet échange répondra davantage à vos interrogations.
N’hésitez pas à me contacter en cas de questions.
Pour la petite anecdote,
Samedi après-midi, dans une grande gare parisienne, j’avais mon panier repas dans un sac, et je venais de finir de manger le sandwich. Un SDF à l’allure dangereuse et agressif vient me voir « Donne moi à manger, j’ai faim; il faut que tu me donnes à manger; donne moi un bout de ton sandwich ».
J’ui dis « j’ai rien à vous donner »
Il plonge alors sa main dans mon sac en disant « Il y a quoi là-dedans ? », il tombe sur le yahourt, il le prend et se barre avec.
Je monte illico les escaliers, et je croise dans la minute un groupe de la SUGE. Vachement concernés, ils me répondent « Oh il a dû s’enfuir ».
J’appelle le 3117, même son de cloche « Monsieur, il ne faut pas nous appeler parce qu’on vous a pris votre Yahourt en gare. On ne peut rien pour vous ».
Je vais voir la police « Mais Monsieur, vous allez pas déposer plainte parce qu’un SDF vous a volé un Yahourt quand même !! »
Je leur réponds « Une agression reste une agression, yahourt ou 100 mille euros c’est du pareil au même, faîtes votre boulot bon sang »
Ils me répondent « Ok, revenez sur les lieux, on vous envois une patrouille ». Comme un con, je reviens sur les lieux, et je les attends 20 minutes : Personne n’est venu.
Au final, j’ai dû lâcher l’affaire, sachant que l’individu va sûrement recommencer avec d’autres personnes en toute impunité.
J’ai un peu discuté avec les marchands du coin, ils me disent que cette grande gare est un no man’s land, qu’on laisse faire. Qu’ils en voient de toutes les couleurs en agressions, vols à l’arrachée. Que moi c’est vraiment rien un Yahourt. Que le mieux qu’on ait à faire c’est de donner à ces individus à manger quand ils le demandent, sinon on risque le pire.
N.B : La grande gare en question n’est pas la gare Montparnasse..
J’ai tout juste raconté ça ici, parce que c’est un peu dans le flot du sujet.
Merci Monsieur Dauthier pour vos réponses.
Si je comprends bien votre point de vue, vous me dîtes qu’il y a les infractions contraventionnelles (sans titre de transport), et les infractions délictuelles et criminelles (vols, violences etc..) : Ces dernières ont les mêmes conséquences quelque soit l’endroit où elles sont commises, dans les transports ou ailleurs.
Pour ce qui est des contraventions SNCF, votre avis est que la police n’y a pas accès puisque cela ne tombe pas dans leurs fichiers. (par opposition aux crimes et délits qui eux entraînent systématiquement l’ouverture d’un dossier chez la police).
On se demande ce qu’ils font… Un de mes bons amis c’est fait agressé dans le train à 18h un mercredi, et qui puis est, les affaires personnels en +. Je trouve ça désolant..
Et toujours au même endroit ( pour pas cité bien évidemment ) il serait bien de renforcé la sécurité à une époque il en y avait quasiment tout les soirs, là j’en croise 1 ou 2 par semaines c’est tout..
Je trouve ça désolant de devoir prendre le train avec la peur au ventre, surtout avec le prix qu’on paye.
Dans la lignée de Doudou peut on aller voir comment travaille les équipes de la police ferroviaire (SUGE) ?
Bonjour,
C’est effectivement envisageable dans le cadre des visites que j’organise pour le club voyageur.
Les prochaines sont déjà définies mais si vous êtes nombreux à souhaiter découvrir ce métier, je peux avec plaisir l’inclure dans le calendrier des visites de l’année.
Aussi si l’idée vous intéresse, n’hésitez pas à vous manifester sur ce billet.