Vous avez été nombreux à subir hier l’importante perturbation provoquée par la panne d’un train TER à proximité de la gare de St Cyr.
Cet incident débuté en fin d’après midi a eu d’importantes conséquences jusqu’en fin de soirée.
Je vous propose de revenir ensemble sur son déroulement.
A 18h32, le conducteur du train TER 862435 contacte le COT (Centre Opérationnel Transilien, la tour de contrôle des lignes N et U où s’organise la gestion des circulations), pour informer le régulateur qu’il constate une difficulté de traction, c’est-à-dire un manque de puissance conséquent qui ne permet pas à sa locomotive de tracter le train.
A 18h43 il parvient malgré tout à se mettre à quai en gare de St Cyr avec 14 minutes de retards puis annonce aux voyageurs la suppression de la suite de son parcours en raison de ce dysfonctionnement.
Les voyageurs sont ainsi orientés vers les trains à destination de Rambouillet pour effectuer un changement vers les lignes TER.
Le conducteur contacte alors le Pôle d’assistance à la conduite pour être guidé à distance dans les premières mesures de dépannage qu’il peut réaliser seul.
A cet instant, la voie à quai occupée par le TER en panne n’est pas disponible pour accueillir le train RIPI.
Ce dernier circule donc à vitesse réduite dans l’attente de son autorisation d’accès et pour éviter un arrêt en pleine voies (risque de descente des voyageurs).
A 19h11, le conducteur du train en difficulté annonce qu’il peut dégager la voie après son dépannage en se rendant au centre de maintenance de Trappes à vitesse réduite de 10km/h imposée par le dysfonctionnement traction.
La voie enfin libérée permet au train RIPI d’arriver enfin à quai en gare de St Cyr et de s’appréter à poursuivre sa desserte malgré le retard accumulé.
A 19h15, le conducteur signale une nouvelle panne de son train cette fois immobilisé à la sortie de la gare de St Cyr au moment de son passage sur une aiguille.
C’est-à-dire que le train est arrêté sur un point commandant 3 voies.
A cet instant seule une voie est utilisable pour les circulations des différentes lignes traversant ce secteur (N, U, C, TER).
La circulation est alors immédiatement interrompue dans le sens Paris- Province.
A 19h19, compte tenu du positionnement du train en panne et des conséquences pour la circulation, l’astreinte prépare un dispositif de prise en charge des voyageurs bloqués à bord du train RIPI.
Il doit trouver le moyen d’évacuer les voyageurs soit par les voies (différents risques à anticiper et solutionner) soit par transbordement (quelles possibilités matérielles).
Il contacte les différentes équipes en mesure d’arriver au plus tôt sur place pour réaliser l’encadrement des nombreux voyageurs à bord.
Pendant ce temps au centre Opérationnel Transilien, les régulateurs et les gestionnaires du plan de transport modifient la circulation des trains en lignes en fonction de ces nouvelles contraintes de l’infrastructure.
Les trains de la ligne U sont rendus terminus-origine Versailles Chantiers pour éviter le secteur impacté et malgré tout assurer un maximum de desserte.
Les TER en circulation réalisent des missions Transiliennes pour palier aux suppressions.
Sur l’axe Paris-Dreux, Paris-Mantes, Paris-Plaisir G, la circulation reste normale.
Au même instant, le dépannage du train en détresse est aussi organisé.
A 20h08 l’accroche du train « dépanneur » au train en panne est réalisée.
A 20h20 le train est enfin évacué vers le technicentre de Trappes après avoir réalisé les différentes opérations de sécurité notamment les tests de freins.
La circulation reprend dés cet instant avec des retards particulièrement importants.
Les perturbations sont perceptibles jusqu’à la fin de service et retardent les travaux de nuit programmés sur le secteur de Chartes.
Malgré tous les moyens mis en œuvre pour assurer l’information en gare et à distance sur les différents canaux, la communication de cet incident a été particulièrement complexe à relayer. En effet, le sur incident provoqué par la seconde panne a nécessité une réactualisation des prévisions de rétablissements.
La première estimation de reprise des circulations indiquait 21h00 mais la seconde panne a reculé cette échéance à 22h30.
L’heure de reprise des circulations est estimée en fonction de la résolution de l’incident ca qui peut parfois conduire à un manque de cohérence du point de vue du voyageur.
De nombreux efforts sont réalisés par l’ensemble de nos équipes pour vous donner une information utile, celle qui vous permet de vous organiser au mieux malgré l’incident.
Vos retours sur ce sujet sont de ce fait essentiels car ils nous permettent de poursuivre et orienter nos prochaines actions, aussi n’hésitez pas à nous faire part ici de vos différents témoignages.
Le fameux train TER était en panne à la sortie de Montparnasse, nous avons senti de multiples disjonctions avec des a-coups et extinctions de la lumière. Le trajet entre PMP et VC a été laborieux avec de multiples disjonctions. La question est pourquoi ne pas avoir stoppé à VC et l’avoir laissé partir vers des endroits où il bloquera la circulation (le mécano est coupable d’avoir sous-estimé la panne, et ce 2 fois avec la seconde immobilisation). Ensuite, ce que vous dites est faux, aucun TER dans le sens Paris-province n’a suppléé Transilien, d’ailleurs le TER de 18h39 à PMP est passé sans encombre sans s’arrêter nulle-part !!!! Pourquoi justement ne pas l’avoir fait arrêter à St-Cyr sur les voies Transilien pour récupérer les naufragés du 18h09 (le fameux train en panne)…Non au lieu de ça on a mis les usagers du TER dans un Transilien qu’on a mis en retard qui ont en plus eu la surprise de se faire dépasser par ce fameux TER qui est passé sans encombre !
Bref hier, soir nous avons eu un florilège complet de l’incompétence de la SNCF à gérer des situation de crise.
Et on le fait arrêter où votre TER pour faire la correspondance avec le Transilien de récup’ ? Au Perray et on fait du saut de mouton entre les rames ? :v
Bonjour,
Ce type de dysfonctionnement peut apparaitre de manière intempestive sans pour autant annoncer une panne. Il peut s’agir par exemple de pertes de contact sensibles entre le pantographe et la caténaire, ou d’autres aléas techniques qui n’ont rien à voir avec une panne ou un véritable dérangement.
Dans ce cas-ci, le conducteur a appliqué précisément toutes les règles prescrites, y compris celles indiquées par le Pôle d’assistance à la conduite.
Contrairement à ce que vous affirmez, des TER ont bien réalisés des dessertes Transiliennes.
Notamment le 862439 qui a exceptionnellement desservi la gare de Gazeran.
Le 16752 celles du Le Perray, les Essarts, Coignère, la Verrière…
La gare de St Cyr n’était effectivement plus desservie pour fluidifier et permettre à tous les trains bloqués en amont de circuler et de se mettre à quai (sécurité voyageurs).
L’objectif étant toujours lors d’un incident de prendre les décisions permettant de limiter l’impact de l’incident sur le reste de la circulation et donc sur le plus grand nombre de voyageurs.
Vous avez cependant raison sur le fait que le TER 862439 ne s’est pas arrêté en gare de St Cyr et pour une autre raison que celle précédemment évoquée, ce train qui était court et en attente depuis 80’ en gare de Versailles Chantiers était le premier à partir pour Chartres après l’incident et ne pouvait pas prendre d’avantage de voyageurs, il n’a donc pas marqué d’arrêt en gare de St Cyr.
Bonjour,
Le 16752 circule le matin (dep. 05h34 de Le Mans). Il s’agissait peut-être du 16778 (dep. 17h36 de Le Mans, dep. 19h18 à Rambouillet, arr. 19h53 à Paris) ?
Ce qui aurait été appréciable compte tenu de la durée de l’incident (retard dépassant 2 heures pour certains trains) et de l’heure tardive, c’est d’apporter une assistance : distribution de boissons et d’encas (barres énergétiques ou sandwiches) (au moins pour les usagers allant à Chartres ou au-delà et qui paient un abonnement au prix fort), organisation d’une alternative de transport (bus, taxi…) pour les personnes ayant des urgences familiales (enfant à récupérer), organisation du transports des usagers dont la correspondance en car n’est plus assurée (tant sur la partie Transilien que TER).
Sur la communication, elle a été très mauvaise puisque personne ne comprenait qu’un train en panne à St Cyr / St Quentin en Yvelines bloque tout le trafic sachant le nombre de voies, il aurait fallu préciser que ce train bloquait trois voies du fait de son immobilisation au cours de son changement de voie.
Et sinon il n’était effectivement pas normal que ce TER continue sa desserte malgré un comportement anormal. Les règles sont sans doute adaptées pour les heures creuses ou une ligne de faible trafic, mais prendre autant de risques sur une zone de fort trafic n’est pas normal. Immobilisé à Versailles l’impact aurait été faible. Il aurait été possible de tenter de l’amener au centre de Trappes une fois l’heure de pointe du soir terminée (après le passage du RIPI de 20h03 à Versailles).
Sur la prise en charge, la convention TER Centre 2014-2020 (p. 24) dit que : « Si, dans un délai de 2 heures, aucune circulation ferroviaire ne permet d’acheminer les voyageurs à leur gare de destination et si aucun transport ne peut être mis en place par SNCF, SNCF s’engage à leur prise en charge : coffret collation, hébergement,… ». Une assistance aurait peut-être du être faite, le paragraphe est peu clair sachant que là c’est une interruption avec reprise du trafic prévue.
Bonjour,
J’étais pour ma part dans le train tombé en panne à St Cyr. Le contrôleur de ce train a fait à 18:50 l’annonce qu’il ne poursuivrait pas sa route et qu’il était nécessaire de prendre le train RIPI situé sur le quai d’en face. Je suis allé à sa rencontre pour lui indiquer que le train suivant (862437) effectuant la même desserte que notre train en panne devait quitter Versailles 5 mn plus tard et que l’arrêter à St Cyr – puisqu’il emprunterait probablement la seule voie encore disponible vers la province – permettrait de limiter les conséquences de la panne sur les voyageurs du train. Il m’a été répondu que cela était impossible sans autre explication (dont je suis preneur) et malgré ma demande, le contrôleur n’a pas voulu rappeler le régulateur pour faire cette demande.
Première opportunité ratée pour limiter les conséquences de la panne pour les voyageurs du train en panne
Dans le train pour Rambouillet, aucune annonce, il fallait donc attendre d’être arrivé pour essayer d’obtenir de l’information sur les solutions nous permettant de poursuivre notre route (vers Gazeran en ce qui me concerne).
Arrivant vers La Verriere, notre train RIPI est dirigé vers les voies centrales et quelle surprise de constater une fois à quai qu’un train TER (8600+VO2N) – je déduis de votre message qu’il s’agit du 862437 puisque le 862439 semble être passé bien après – dans laquelle il reste un nombre généreux de places nous dépasse à vitesse conséquente.
Seconde opportunité ratée pour limiter les conséquences de la panne pour les voyageurs du train 862435.
Je suis bien curieux de savoir pour quelles raisons, deux opportunités de limiter les conséquences de cette panne de train sur ses occupants n’ont pas été mises à profit ; parce qu’arrivé à Rambouillet, il a vite fallu se rendre à l’évidence que se débrouiller par nous même serait encore la meilleure solution…
Je vois déjà un hic,
Les contrôleurs n’ont pas à appeler les Régulateurs. Pour être franc, ils ont pas le droit.
Pour ma part j’étais dans le train Véri qui circulait juste derrière et je me suis retrouvé à l’arrêt juste avant la gare de St Cyr. Après plys d’une heure d’attente, le train est reparti. Ce qui me désole, c’est qu’on a beau faire une réclamation, le message est toujours le même: pas d’indemnisation même lorsque la faute est avérée. Bref, avec ces problèmes à répétition, les retards qui s’accumulent et ai volonté de supprimer l’arrêt du Val d’or sur la ligne U en 2015, je vais arrêter de remplir les caisses de la SNCF.
C’est une manie ce corporatisme au point d’en être aveuglé ?
Quand on parle de disjonction avec a-coup et trajet chaotique à faible allure on sait que la motrice a un souci car si on prend les problématiques que vous citez on roule sur l’erre et on ne sent pas d’a-coup. Ensuite, la desserte Transilien par TER que vous mentionnez est dans le sens inverse, seul le TER qui s’est arrêté à Gazeran a été rendu omnibus d’ailleurs à la demande des usagers au responsable commercial de la gare de Rambouillet. D’ailleurs des fois, il faut être positif mais ce soir là, ce monsieur a démontré une forte pedagogie tout en restant disponible et sans faire appel à la SUGE ! Comme quoi à la SNCF il reste des très bons et pros…
Bonjour ,
Nous nous sommes trouvés ce soir là, face à un problème
de matériel vétuste, ni plus, ni moins. La BB 8594 en tête du train en panne a presque 50 ans d’existence, après les
nuisances subies par les « petits gris » sur la ligne N, il faudra que des pannes à répétitions surviennent encore,
pour que la SNCF daigne bouger.
Les nouvelles rames Z 55500 tardant à arriver, sauf pour la
Normandie.
Ce n’est pas encore pour demain. Il semble que ces nouvelles rames ne soient pas encore homologuées pour circuler en UM et Bombardier doit livrer un paquet de rames. Pour l’instant, il n’y aurait que 7 rames pour une commande de 197 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Regio_2N).
Une présentation officielle doit se dérouler lundi (1er décembre).
@Doudou Pourquoi tu n’as pas appris à lire ? Au lieu de prendre fait et cause pour la SNCF, apprends à lire… Je dis qu’il faut stopper le TER qui roulait à Saint-Cyr sur les voies Transilien pour ramasser les naufragés…
De toute façon, ça ne retire en rien l’erreur de jugement du mécano !
@Jean-Roger
Vous n’êtes pas obligé de tutoyer un contributeur de façon si irrespectueuse juste parce que vos points de vue divergent.
Sachez par ailleurs que le lieu de dépannage lors d’un incident technique est laissé certes à l’initiative du conducteur EN ENTENTE AVEC LE REGULATEUR. Donc, avant de juger prématurément, je préfère quand même savoir qui a décidé quoi. Cela ne m’étonnerait même pas que le mécano aie reçu l’ordre de continuer tant bien que mal sa mission jusqu’à Chartres plutôt que de plomber la gare de VC (ce qui serait n’importe quoi, j’en convient.)
Il est fou lui :'(
LOL jean roger condat … erreur de jugement du mécano …
que savez vous de la panne qu’il a eu sur son matériel ??? que savez vous sur les « à coups » en traction, les diverses causes possibles, si elles sont acceptables pour continuer un trajet etc ou pas … ???
Si on devait arrêter un train qui fait des « à coups » en traction quelque soit la raison, on en arrêterait un paquet alors ! ! !
Un simple capteur anti-enrayeur HS pourra provoquer des « à coups » sur certains matériels modernes, ce n’est pas pour autant que la « chaine de traction » est hors service …
Bonjour,
Il s’agissait d’une BB 8500 + VO2N ?
La rame est la 87 donc une VO2N avec la BB8594
Ce matériel ne devrait bientôt plus circuler avec la mise en service des Regio2N.
Encore quelques années à mon avis avant de radier toutes les 8500/8600 cabine longue … alors que des locs plus modernes pourrissent dans des triages ( 7200/22200 entre autres soeurs des 7600 transiliennes ) et auraient pu faire l’affaire …
en même temps quand même … elles sont solides ces 8500 … 😉
@romuald
Navré mais ce sera leur dernier SA sur Montparnasse ! Ces braves danseuses tireront leur révérence dès l’an prochain car les Regio2n vont arriver en masse dans le courant de l’année !
Félicitations aux personnes à la gare de Versailles-chantier qui suite à l’annonce d’un changement de quai ont décidées d’emprunter une voie réservée à la sortie pour se rendre vers celui-ci ! Conséquence, les gens qui étaient sur l’escalator en direction de la sortie se sont retrouvés presque bloqué sur celui-ci , ce qui est assez dangereux, merci à ces gens très intelligents !!! De plus nous aurions pu aussi louper notre correspondance !
Le plus déplorable dans cette histoire est l’absence totale de communication ! J’étais dans le train en partance de Montparnasse qui s’est arrêté plus d’1/2 heure à Viroflay … sans aucune information.
Les conducteurs ne sont-ils pas formés à parler dans leur joli micro !? Heureusement que la solidarité était de mise ce soir-là et où chacun a partagé les informations trouvées sur les réseaux sociaux ! C’est inadmissible et irresponsable ! Merci la SNCF mais nous ne sommes pas du bétail …
J’étais aussi dans ce train. AUCUNE communication.
Au bout de 30mn, j’ai pris le train de Mantes qui s’est arrêté sur l’autre voie et qui m’a amené jusqu’à Versailles … où je suis alors resté bloqué 45mn avant de remonter dans le train abandonné à Viroflay 😉
D’autres trains sont passés pendant ce long arrêt à Viroflay, peut être allaient-ils à Saint Quentin ?
A priori, on ne peut pas compter sur une quelconque indemnisation (réponse par mail) mais j’ai aussi adressé un courrier.
Ce matin, à l’accueil de Saint Quentin, les agents n’étaient pas au courant de l’incident de la veille !!!
Bonsoir,
Je ne sais pas si c’est dû à un manque de personnel mais en tout cas pour les trains Transilien je pense que c’est vrai. Il n’y a en général que le conducteur à bord donc c’est délicat…
Sinon en gare, peut-être que ce ne sont pas les mêmes personnes au guichet ? Je ne sais pas comment ils fonctionnent… Par contre à Saint-Quentin, certains agents n’étaient par exemple pas au courant du dispositif des cendriers donc j’ai tendance à vouloir dire que ça reflète déjà un souci au niveau de la communication interne non ?
Par ailleurs, je pense que vu la particularité de la ligne N qui, sur l’axe Rambouillet partage quasiment totalement les voies avec le TER Centre (en heure de pointe), ne peut-on pas imaginer que l’un puisse rapidement dépanner l’autre ligne dans un futur proche ?
C’est-à-dire qu’un matériel TER pourrait exceptionnellement effectuer une mission Transilien comme un matériel Transilien pourrait effectuer une mission TER jusqu’à Chartres, Epernon ou Maintenon exceptionnellement (vu que c’est les mêmes alimentations). Une création de synergie ne pourrait-elle pas être un atout fort pour la ligne Paris – Chartres ?
Cordialement.
Mon transilien en amont a été arrêté en gare de VC. Habituée aux problèmes, j’ai immédiatement su que j’allais faire une soirée TRAIN, j’ai pris mon mal en patience. La seule remarque que j’ai, c’est le cafouillage général dans la gare quand l’annonce du premier train pour Rambouillet nous a fait changer 2 fois de voie (pas sur le même quai, ca serait trop facile), d’où le bordel ambiant et les gens qui cherchent à descendre avec précipitation et se retrouvent face à ceux qui cherchent à remonter dans la gare… J’espère que la refonte des lieux nous apportera une meilleure circulation entre les voies.
Départ de Montparnasse (destination St Quentin en Yvelines) à 19H16 après avoir accusé la suppression de 2 trains et subi 2 changements de quai (annonces quasi-inaudibles pour les passagers déjà installés dans les trains). Arrêt à Viroflay pendant plus de 30 minutes, sans aucune information (autre que celle de la panne) ni proposition d’alternative (pour rejoindre Versailles par exemple). Après 3 opportunités manquées, décision de rejoindre Saint Cyr par un train (non annoncé) qui passait sur le même quai (merci les réseaux sociaux). Descente à Saint Cyr, foule dense dans les escaliers. Frustration de se retourner et voir passer (et manquer, car il était trop tard et périlleux pour faire demi-tour dans les escaliers de la gare) le train SARA (pourtant affiché à Viroflay comme « interrompu ») qui allait sur St Quentin… Arrivée laborieuse à destination avec 90 minutes de retard et l’impression que rien n’a été fait pour minimiser l’impact de la panne sur les usagers.